Électrosensibilité : conséquences des implants dentaires en titane
Les analyses segmentaires montrent d’abord une inflammation globale de l’organisme, comme pour tout terrain allergique à son commencement.
Le système immunitaire étant peu à peu épuisé, le pôle commande étant affaibli, l’organisme passe alors en gestion végétative afin d’économiser les ressources fonctionnelles et énergétiques du cerveau. Une fatigue chronique globale est alors ressentie, la formulation sanguine ne tarde pas à montrer des incohérences biologiques (sédimentation augmentée, marqueurs spécifiques du stress oxydatif perturbés etc.).
NB : à ce jour, pour les éléctrosensibles génériques sans implants métalliques, il n’existe pas de solutions réelles de guérison définitive (terrain allergique très profond). Cependant, de nombreux dispositifs de protection physique peuvent largement améliorer leur quotidien (exceptés des gadgets sans intérêts et dénués de toutes validités scientifiques actuellement sur le marché). Les différents matériels de protections sont principalement issus du secteur militaire et sont enfin disponibles pour le grand public.
Électrosensibilité : conditions de pose d'un implant dentaire
Tous les implants dentaires ne sont pas problématiques et peuvent être parfaitement gérés par l’organisme et le cerveau (pôle commande). À cet égard, mieux vaut privilégier les implants non métalliques (voir le Pratikadent, rubrique Implant).
Un implant ne devra être posé que si le système immunitaire est au maximum de ses capacités (sans état inflammatoire). Ceci se mesure exclusivement en EAV avec les biotests et par le Decoder Dermograph.
Électrohypersensibilité et soins dentaires
De nombreux cas de perturbations dentaires ont vu le jour depuis une dizaine d’années chez les patients présentant une hypersensibilité aux champs électriques (courants alternatifs, lignes hautes tensions et aux hyperfréquences, GSM, Wifi).
Électrosensibilité : Électrohypersensibilité ou EHS
Après plusieurs mois d'attente, l'Agence gouvernementale de protection sanitaire (Health Protection Agency ou HPA, Agoravox 16/11/2005) d'Angleterre vient de publier un important communiqué de presse sur un phénomène de santé en pleine expansion dans notre société : l'électrosensibilité. Cette nouvelle maladie, reconnue depuis peu, est appelée officiellement par l'OMS, l' électro hyper sensibilité ou EHS.
Électrosensibilité et implants dentaires en titane
Pathologie non spécifique à la sphère dentaire, l'EHS est amplifiée par toute pose d’implant métallique (titane) dans l’organisme.
Les troubles organiques se font sentir dans un laps de temps de 14 à 18 mois. L’organisme n’arrivant plus à le gérer, même en sidérant la zone concernée, les névralgies diverses et variées vont alors prendre peu à peu le relais.
Électrosensibilité et amalgames dentaires
Les amalgames dentaires (la pile en bouche due aux micro-courants générés par les différences de potentiels galvaniques ou électrogalvanisme est connue depuis plus de 40 ans chez les praticiens EAV*), ainsi que les implants en titane, vont jouer un rôle prédominant en tant que facteur amplifiant.
Les syndromes sont beaucoup plus graves que la perturbation cicatricielle. Ils paralysent totalement le système nerveux central ainsi que le système neurovégétatif.

Électrosensibilité : dépose des métaux (amalgames et implants)
Le dépôt d'amalgame si souvent préconisé ne se fera qu’avec un praticien spécialisé à cette technique et que dans le cadre d’un système immunitaire en état optimum de fonctionnement. Les biotests EAV permettront de définir la validité organique de cette intervention, ainsi que le moment précis où le corps autorise celle-ci (oui, c’est bien une notion d’autorisation dont on parle !) afin de ne pas effondrer le système immunitaire (désynchronisation du pôle commande due aux multiples anesthésies).
La dépose de l'implant dentaire ou des implants dentaires perturbateurs est une nécessité. Celle-ci nécessite les mêmes précautions.
NB : la dépose d'un implant dentaire est un acte délicat occasionnant une perte osseuse importante car l'implant, dépourvu de ligament, adhère à l'os par ankylose et doit donc être découpé par fraisage de l'os (et non extrait comme on le fait pour une dent naturelle). Lire à ce sujet le Pratikadent, rubrique Ligament
Plus d'information, voir sur www.zeta-dental.fr